26 mars 2008
Txt : http://www.reve-armoricain.com*
Les yeux hagars, éperdus, Quelques guenille à demi nu. Déambule dans les rues. Un vieil homme inconnu. Mendient pour quelques sous. de son chapeau empli de trous une larme perlant sa joue, descend jusque dedans, son cou. A petits pas toujours pressé, le monde bouge insensé. Passe devant cet affamé, tournant la tête pour l'ignorerr. Sur son visage silloné, mille blessures crevassées, pâleur visiblement cachée, de par sa barbe si peu rasée. Combien de temps encore, marchera t'il sans effort ? Lassé de peu de réconfort, vivant dans l'antre de la mort. Au petit jour sous un pont, affaibli pluss que de raison. Le corps raidi de tout son long. Repose celui que nous ignorons.
Aimez le . sinon grosse crise putin.
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